Soutenir la transformation numérique de l’administration fédérale

Chers lecteurs, chers partenaires,

En tant que nouveau directeur de l’OFIT, j’ai le plaisir d’accompagner activement la transformation numérique, conjointement avec les partenaires, les collaborateurs et les fournisseurs de l’administration fédérale. C’est une tâche aussi passionnante qu’exigeante!

Dirk Lindemann, directeur de l’OFIT

L’informatique est en pleine mutation. Les nouvelles technologies se développent à une vitesse fulgurante et s’implantent sur le marché. Intelligence artificielle, blockchain, mégadonnées ne sont ici que des mots-clés. À l’OFIT, nous développons nos connaissances sur ces technologies d'avenir afin de rester à la pointe dans ce domaine.

La collaboration avec nos fournisseurs évolue elle aussi: à l’avenir, de nouveaux modèles de services s’imposeront, où les logiciels ne seront plus achetés, mais obtenus directement auprès des fournisseurs dans le cloud, selon le modèle SaaS.

Les applications de l’administration fédérale ne seront plus exploitées exclusivement dans les centres de calcul de la Confédération. Désormais, on envisage des modèles d’exploitation hybrides, où certaines applications seront exploitées sur place, d’autres dans des infrastructures d'un nuage public.

Enfin, la façon dont nous travaillons, développons les technologies informatiques et les exploitons est également en train de changer. À l’OFIT, le passage à des formes de travail agiles est pleinement engagé. Au lieu de concevoir des plans détaillés comme c’était trop souvent le cas auparavant, nous développons dorénavant, en nous basant sur des prototypes, des logiciels opérationnels dans des délais plus courts. Ces prototypes, appelés «produits minimums viables» (minimum viable products), sont des services déjà fonctionnels à petite échelle qui permettent de réagir rapidement aux nouvelles exigences du domaine et aux évolutions technologiques.

Nous nous employons à développer des connaissances dans tous ces domaines. Pour y parvenir avec les moyens et le personnel existants, l’OFIT devra réduire ses coûts ailleurs. Des économies sont réalisables, par exemple en automatisant de manière cohérente les tâches récurrentes et en augmentant l’efficacité des technologies existantes.

Ces derniers mois, j’ai rencontré à l’OFIT de nombreux collaborateurs motivés et engagés. Je me réjouis de créer avec eux les structures qui permettront à notre office de relever les défis à venir afin de soutenir de manière optimale l’administration fédérale dans sa transformation numérique.

Dirk Lindemann, directeur de l’OFIT 

Gains d’efficacité par rapport aux technologies actuelles grâce, par exemple, à l’automatisation cohérente des tâches récurrentes et à l’investissement dans le développement des connaissances.

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